FABIUS le va-t-en guerre qui n'a pas lu JAURES !

JAURES le socialiste auquel se réfèrent encore quelques  socialistes désapprouvait le recours à la guerre.

Après l'assassinat de l'Archiduc héritier du Trône d'Autriche-Hongrie,JAURES assista à une campagne diplomatique pour inciter l'Empereur d' Autriche-Hongrie à déclarer la guerre à la SERBIE.

Cette campagne dura tout le mois de juillet 1914. Elle fut instrumentalisée par le ..Pape, eh oui,les télégrammes diplomatiques sont restés dans les archives,qui voulait en découdre avec ce pays orthodoxes qu'était la SERBIE et qui était une épine dans le pied .

D'autre part,l'extrème droite nationaliste,et donc catholique  française voulait la guerre,au nom de la réunification de l'Alsace-Lorraine,mais aussi contre l'abolition du Concordat et l'instauration de la Loi de séparation de 1905.Cette extrème-droite étant aussi monarchiste.

A l'époque,c'était le Président de la République POINCARE qui était le va-ten guerre !

JAURES le pacifiste fut assassiné le 31 juillet 1914.

Aujourd'hui,c'est FABIUS ,Ministre de la "Défense" dans un Gouvernement Socialiste qui veut intervenir en SYRIE pour livrer le régime d'ASSAD aux Talibans.

En passant par le stade des caméléons,selon le terme utilisé enTUNISIE .

 

C'est l' "ETAT FRANCAIS" instauré par PETAIN qui est coupable !

 

C'est l' "ETAT FRANCAIS" instauré par PETAIN et sa bande qui est coupable,des rafles de JUIFS à partir de juillet 1942 !

Nous n'acceptons pas cet esprit de repentance intauré par CHIRAC et HOLLANDE.

C'est à la Conférence de WANNSEE du 20 janvier 1942 que Reinhard HEYDRICH fit adopté en 2 heures le programme secret de la "Solution finale du Problème Juif" .

C'est HITLER en personne qui décida du renvoi de DARLAN,le Vice-Président du Conseil : le sinistre Maréchal PETAIN,qui avait le titre de chef de l'Etat et de celui de Président du Conseil,dut accepter de se soumettre,à partir du 13 avril 1942.

PETAIN fit venir ses conseillers dont le Cardinal LIENART de Lille,un fidèle depuis ...1907 (photo parue dans le Journal de ROUBAIX le montrant arrivant en gare de VICHY).

HITLER imposa Pierre LAVAL (1) comme Chef de Gouvernement qui forma son Gouvernement que PETAIN dut accepter tel quel.

René BOUSQUET,Préfet de la Marne,  devint membre de ce Gouvernement en tant que  Secrétaire à la Police.

C'est alors que dans un plan déjà préparé , il ré-organisa la Sûreté Nationale qui devint alors la Police Nationale en embauchant de nombreuses jeunes recrues,formés et très bien payées.

 

La première visite que fit BOUSQUET,ce fut à LILLE,dès le lundi 20 avril 1942,comme l'atteste la presse collaborationiste de l'époque,avec photographies à l'appui.

Il y rencontra son ancien collègue le Préfet Fernand CARLES au Commissarit Central et à l'Ecole de Police de la rue Négrier,proche de l'Evéché où se trouvait le fameux cardinal cité ci-dessus,revenu à Lille.

L'Eglise catholique collaborait étroitement avec PETAIN.

C'est le 11 septembre 1942,que les policiers du Nord seront contraints de procéder aux rafles,à LILLE,DOUAI,LENS,etc :

c'était une exigence programmée et acceptée par le préfet CARLES.

Les Policiers seront obligés de retourner dans les familles ou chez des voisins pour y récupérer des bébés parce que le nombre de personnes arrétées n'était pas suffisant.

Ce Préfêt CARLES avait déjà fait interner de nombreux militants communistes,des syndicalistes ou d'anciens grévistes sur simple lettre de cachet au Fort de DOULLENS.Tous les anciens internés Français de la Citadelle de HUY (en Belgique) y avaient été rapatriés,grâce à la complaisance de l'occupant.

La FRANCE d'aujourd'hui n'est pas responsable des crimes commis par l' "ETAT FRANCAIS".

HOLLANDE et CHIRAC brillent par leur ignorance de l'Histoire de l'Occupation et de la Collaboration.

Quand on constate que,depuis 1970, le Département d'HISTOIRE de l'Université de Lille III collabore avec l' Université Catholique de LOUVAIN (B),ex-pro-allemande,on ne peut éprouver que de la tristesse.

 

 

 

 

 

 

MAILLOT JAUNE POUSSIF au Tour de France .

WIGGINS , qui avait du mal à monter les cotes a été attendu par son co-équipier  2ème du classement .

S'il avait été décroché, il aurait tout perdu...et serait tombé dans les profondeurs du classement.

Ainsi tout était réglé d'avance,comme dans un spectacle grace à la technique des oreillettes.

La sincérité de la course a été mise en cause !

 -  les journalistes se taisent,car ils risqueraient de perdre leur accrédiations et les avantages financiers qui les accompagnent.