06/10/2008
Association des LIBRES PENSEURS DE FRANCE
Face à la crise financière
Communiqué de l'A.D.L.P.F.
En raison de la crise financière, nos dirigeants n'hésitent pas à déverser des milliards d'euros publics pour venir en aide à des spéculateurs cupides. Dans le même temps ,pour se conformer aux injonctions de l'Union Européenne, ils mettent en œuvre une privatisation à marche forcée, de l'enseignement et de la recherche.
L'Association des Libres Penseurs de France, farouchement attachée au caractère publique et laïque du Service français d'Education, appelle l'ensemble des organisations laïques et leurs adhérents à réagir de façon coordonnée et déterminée aux attaques du pouvoir, notamment:
- la suppression massive de postes d'enseignants et d'administratifs,
- les subventions accrues aux écoles privées,
- le projet de création d'un " chèque - éducation ",
- la ségrégation par le démantèlement de la carte scolaire
Soyons vigilants :
Quand il n'y aura plus d'école laïques…Il n'y aura plus de République démocratique et sociale !
A Paris le 4 Octobre 2008
11:40 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
M'est avis que la République .... va être laminée par la crise .... et qu'un pouvoir de type tyranique va s'instaurer rapidement !
Avant ou après la guerre civile ?
Pendant, peut-être !
Je me demande où vont se regrouper les milliardaires en attendant que l'armée fasse le tri entre les individus convenables et les autres ?
Mais ce ne peut être qu'un petit paradis ensoleillé et maritime, loin de l'agitation vulgaire.
Écrit par : Yfig, peintre de tous les jours sauf le lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi et samedi | 06/10/2008
Reçu ce jour (dimanche 12/10/2008)
19:18 - vendredi 10 octobre 2008
Lisieux :
la ministre Christine Boutin pour la Béatification. La cérémonie de béatification de Louis et Zélie Martin, le 19 octobre, étant placée sous la présidence du Légat du pape, le cardinal José Saraiva Martins, c'est Christine Boutin, ministre du Logement et membre du conseil pontifical de la famille, qui représentera le gouvernement français.
Plus d'informations demain dans Ouest-France
Écrit par : Yfig, peintre de tous les jours sauf le lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi et samedi | 12/10/2008
Après cela,ce sera la béatification du Pape pro-nazi PIE XII,et de son ami HITLER .
De la part d'un ancien membre des Jeunesses Hitlériennes,il n'y a rien d'étonnant.
Quant à Christine BOUTIN,elle ferait mieux de s'occuper un peu plus du Logement,pour lequel elle est rétribuée.
Écrit par : Célestin | 13/10/2008
Enfin
Christine Boutin présente son projet de loi pour le logement
La ministre du Logement présente dès ce mardi son projet de loi «Mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion» devant le Sénat. Le texte original devrait cependant être modifié par de nombreux amendements, soutenus notamment par un collectif d’associations d’aide aux mal-logés. Retour sur les principales mesures de ce projet de loi.
Attendu et évoqué depuis des mois, l’un des projets de loi phares du gouvernement sera présenté à partir de ce mardi au Sénat. La ministre du Logement, Christine Boutin, doit dévoiler son projet de loi «Mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion», dont on sait d’ores et déjà qu’il devrait être «profondément étoffé et remanié» selon Etienne Pinte, sénateur (UMP) des Yvelines et auteur d’un rapport sur l’hébergement d’urgence et l’accès au logement. La semaine dernière déjà, la commission des Affaires économiques du Sénat avait supprimé l’article 17 du projet, contre lequel une trentaine d’associations dédiées au mal-logement se sont battues depuis plusieurs semaines, le trouvant «totalement inacceptable».
De nombreux amendements
L’article en question prévoyait en effet de modifier la loi SRU, en assouplissant l’obligation des communes de plus de 3.500 habitants d’avoir au moins 20% de logements sociaux. L’article 17 voulait intégrer le nombre des logements en accession sociale à la propriété à ce pourcentage. Les associations craignent notamment qu’une telle disposition ne mette en danger la mixité sociale, tout en accentuant les difficultés rencontrées par les ménages les plus faibles pour se loger. La Joc (Jeunesse ouvrière chrétienne), association regroupant 10.000 jeunes de 15 à 30 ans, dénonce notamment «une régression pour l’accès des jeunes à l’autonomie et à la mixité sociale. […] Ne rien faire pour favoriser le logement des jeunes équivaut à repousser l’âge de l’accès à l’autonomie», regrette Inès Minin, présidente de la Joc.
Un collectif réunissant plusieurs associations militant pour les droits des mal-logés a présenté aux parlementaires 17 propositions d’amendement, et demande que les propositions figurant dans le rapport remis en septembre par Emmanuel Pinte soient intégrées au projet. Parmi les propositions émises par le député, figure l’obligation, pour les communes ne respectant pas le quota des 20% de logements sociaux, d’inclure au moins 30% de logement sociaux dans les constructions neuves.
Baisser le plafond d’accès aux HLM
Parmi les autres mesures prévues dans son projet de loi, Christine Boutin propose notamment de favoriser l’achat par des organismes HLM de projets de logements à des promoteurs privés en Vefa (vente en l’état futur). Cette procédure permettrait aussi de construire en 2009 les quelque 30.000 logements programmés que ces promoteurs n’auraient pas réussi à vendre, faute d’acheteurs. La loi présentée ce mardi prévoit aussi d’améliorer la mobilité dans le parc HLM (qui se situe aujourd’hui à 9,4% par an), en libérant par exemple les logements sous-occupés après trois propositions de relogement, sauf dans le cas des personnes âgées de plus de 70 ans ou handicapées), et en abaissant de 10% le plafond de ressources pour accéder au logement social : la proportion des ménages y ayant droit passerait ainsi de 70% actuellement à 60%. Il s’agit aussi pour la ministre de redéfinir la destination des sommes gérées par le 1% Logement. Avec la nouvelle loi, il verserait 850 millions d’euros supplémentaires par an entre 2009 et 2011, afin de financer l’Agence nationale de rénovation urbaine (Anru) à hauteur de 320 millions d’euros, l’Agence nationale de l’habitat (Anah) à hauteur de 480 millions d’euros et les politiques de rénovation des quartiers anciens dégradés grâce à 50 millions d’euros.
Les aménageurs privés globalement satisfaits ....et les associations caritatives aussi
Écrit par : Suzanne | 15/10/2008
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