Ecole de Journalisme en dépôt de bilan ?

 

L’ESJ Lille connaît de graves difficultés financières

L’ESJ Lille ne va pas bien. Lors de la dernière assemblée générale qui s’est tenue le 14 décembre dernier, Hervé Bourges, le président, et Daniel Deloit, le directeur général, n’ont pas caché leur inquiétude. Si l’école ne change pas son modèle économique, elle court droit au mur.

Tel était le début d'un titre alarmiste paru dans différents journaux.

Cette école privée installée dans des locaux municipaux grace à Pierre MAUROY aurait reçu des subventions publiques dont celles du Conseil Régional,si on croit certains bruits.

Ces bavards qui sont toujours prêts à nous dénigrer,sont tout à coup devenus muet comme des carpes : le sujet est tabou !

Il est anormal qu'une subvention vienne combler un déficit de gestion.

Logiquement le Président devrait prendre rendez-vous avec le Président du Tribunal de Grande Instance de Lille pour déclarer  le dépôt de Bilan.

En plus de la Subvention-détournement de l'impôt-,les responsables de l'ESJ [Institut catholique de Lille créé en 1924 devenu en 1960 ESJ Ecole Supérieure de Journalisme ] réclament maintenant de s'associer à des Universités Publiques dans le cadre d'un "Pôle d'Excellence" public-privé !

On aurait alors des fils et des filles de riches qui peuvent payer 4 000 € par an pour les frais de scolarité qui intègreraient une Université Publique, qui,elle,intègre tous les publics sans sélection sur  critères financiers et d'opinion.

Une fois de plus la laïcité est en péril dans le domaine de l'Enseignement Supérieur Public.

RITES TRADITIONS CROYANCES & DROIT

 

 

À l'initiative de l'Union des Athées,
rencontre débat le samedi 9 janvier 2010 à 14h30
à Paris à la Maison des Associations du 18^e
15, passage Ramey 75018

sur le thème : 
« Rites, traditions, croyances et droit. »

avec la participation de :

Guylain Chevrier et de  Michèle Vianès

Bal mouvementé au VATICAN : un blessé grave !

 

Alors que le cortège se rendait à la "messe de Minuit" qui avait lieu cette année à 22 heures(1),une "groupie" italo-suissesse,Susanna Maiolo, a sauté la barrière pour se jeter  -dit-on-  au cou du Pape ! ...

On ne sait pas si c'était pour des bisous,mais il en est résulté un pugilat au sol.

Notre vieil allemand qui a dû se rappeler de ses séances d'entraînement au "close-combat" de sa jeunesse, a réussi à maîtriser l'intruse et à la laisser entre les mains des gardes suisses.

Sa garde rapprochée a été totalement incapable de le défendre...

Et le Pape s'est relevé comme si de rien n'était,a remis en route le cortège et la musique.

Et c'est un Français,ou plutôt un basque, qui a payé les pots cassés.Car,bien que ne se trouvant pas dans le voisinage immédiat,il s'est retrouvé,plaqué au sol, avec une fracture du col du fémur : la bagarre au sol a dû être très violente,quoiqu'en disent les journalistes.

Depuis, la "communication" est au service minimum pour cette manifestation d'enthousiasme imprévue.

(1) Le Pape ne supporterait plus les réveillons tardifs,paraît-il !