Religieuses en maronnage : que fait l' ADFI ?

Trois religieuses âgées de plus de 80 ans n'avaient pas compris que lorsqu'on décide de se mettre en esclavage dans une Secte,(pardon,dans une Congrégation), c'était pour toute la vie .

Se mettre en esclavage,c'est aussi abandonner tous ses biens,présents et à venir,à la Congrégation.Et obéir comme un petit chien à son maître.

Ces Trois dames résidaient donc dans une Maison de Retraite "religieuse" où elles espéraient finir leur jours dans le calme et le respect dû à leur âge.

Cette Maison de Retraite est située à ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN,près de MENTON,où elles avaient donc toujours vécu.

Mais directrice des lieux,c'est à dire,leur gourou,Mme GAILLARD,leur a ordonné de quitter les lieux ,c'est à dire de débarasser le plancher et pour ce faire de petites mains sont venues pour faire leurs valises .

La destination étant l' Ardèche,à AUBENAS,un coin perdu à 400  km ...

Pire qu'un exil,une déportation.

La presse nous dit qu'elles ont pris le maquis et qu'elles vivent cachées chez des tiers bienveillants,de peur d'être reprises et d'être conduite de force dans leur nouveau lieu de villégiature forcé.

 

Or,quand on dirige une maison de retraite,fut-elle religieuse,Mme Gaillard aurait dû respecter la procédure en la matière,et adresser un pli recommandé et prévoir un relogement adapté à leur situation,c'est à dire dans une autre maison de Retraite de la commune.

Mme Gaillard aurait dû alerter la DDASS , qui ,de son côté,aurait pu trouver au pire un lit dans une structure appropriée.

Sachant que ces religieuses se sont installées dans le dénuement le plus complet,aprés avoir abandonné leur bien à la Congrégation,cette Congrégation devrait en retour,contribuer à l'entretien matériel de leurs membres .

C'est cela le devoir d'obéissance.