AUX CHIOTTES TOUTES LES RELIGIONS (2,50 € ) chez votre marchand de journaux préféré !

 

" Après le scandale du Christ dans le pipi d'AVIGNON" ,

c'est la page de couverture de CHARLIE HEBDO,

illustrée par CABU,cette semaine .

n° 983  du 20 avril 2011.

 

Pendant que SARKOZY fait la guerre en Afrique pour déloger des didacteurs * avec l'aide de la chape de plomb médiathique ,voilà un peu d'humour...

 

* Offrir un miroir à la classe des élus silencieux serait sans doute un cadeau utile.

CRUCIFIX OBSCENE en AVIGNON et ailleurs.

 

• Tous les crucifix sont obscènes : qu'ils soient trempés dans l'urine ou l'eau bénite.
• Où est la différence ?
• La mythologie chrétienne voudrait nous faire croire que le présumé JESUS a été cloué sur une croix !
• A l'époque Romaine où pouvait-on trouver un forgeron qui sache fabriquer et forger des clous ?.
• Même chez les Juifs,puique jusqu'à la dernière guerre mondiale,les chrétiens faisaient porter par les Juifs la responsabilité de la mort du "Christ",et non par les Romains !
  

 

Lors des périodes de colonisation chrétienne,dites"christianisation",les évangélistes n'ont pas été les derniers à détruire tous les objets de culte celtique ou païen,au nom de la prétendue supériorité de la civilisation chrétienne.

• "Le vandalisme religieux est une constante dans l'histoire"

 peut-on lire,dans le quotidien "Le MONDE catholique" qui oublie de dire que les VANDALES étaient des colonisateurs chrétiens qui cassaient tous les objets de culte des païens d'Afrique du Nord.

 

 

OATTARA le seigneur-expert du F M I et féodal.

 

 SEIGNEUR FEODAL

 

Au Moyen  Âge,le vainqueur retenait son vaincu dans une cage de fer,humiliation subie par LOUIS XI à Péronne (en Picardie),en son temps.

 

Aujourd'hui,c'est GBAGBO qui est transféré chez OUATARA,dans le Nord de la Côte d'ivoire,dans son fief.

Quant au personnel de GBAGBO,la chape de plomb médiatique a bien voulu nous montrer ces hommes privés de leur chemise exposés en plein soleil,derrière les barbelés,privés de boisson et vivant dans des conditions inconfortables.

Où sont donc appliquées les règles du C C I R,qui devraient garantir le respect de la personne de tout prisonnier.

On se croirait revenu au temps  des camps de concentration.

Et on constate que la guerre n'a rien réglé,bien au contraire.