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18/11/2016

SALENGRO : il y a 80 ans disparaissait ce Ministre du Front Populaire.

Il s'est suicidé le 18 novembre 1936,chez lui,à Lille .

Une commémoration officielle a eu lieu en Mairie de Lille ,présidée par Martine AUBRY,Maire e Lille,et par Bruno CAZENEUVE Ministre de l' Intérieur .

Un bel hommage,

néanmoins ternie par le présence de "représentants des religions " :

le clergé catholique n'avait pas sa place quand on sait qu'il avait apporté de l'aide aux ennemis de SALENGRO pour le diffamer et l'accuser d'avoir été un déserteur en 1914,alors qu'il avait été totalement blanchi par un Tribunal Militaire.

De plus  SALENGRO avait été fait Prisonnier de Guerre entre 1915 et 1918 ; qu'il avait été sanctionné par les Allemands pour avoir refusé de travailler dans des usines d'armements,comme l'y autorisaient les Conventions de la Croix-Rouge,signée par l' Allemagne .

Il y avait en 1936 , une haine contre le Front Populaire de la part de l' Eglise Catholique ,alliée de toujours du patronat,surtout.du plus rétrograde

- Toujours est-il que s'il y a  eu la Marseillaise chantée,on a oubliée l' Internationale ...

Nous sommes frustrés par cet oubli .

 

 

21:13 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

29/10/2016

Aurélie Bretonneau, rapporteur public, du Conseil d'Etat

Aurélie Bretonneau, rapporteur public,du Conseil d'Etat qui se penche actuellement sur le petit Jésus des crèches qui seraient installées dans les Mairies,

devrait se rendre compte qu'elle se met en infraction avec la loi de SEPARATION des églises et de l'Etat ;

et quoi de plus rassembleur qu'un sapin de Noël justement,qu'une bûche au chocolat et des cadeaux.

 

Noël  reste une fête païenne , celle du solstice d'hiver .

comme HALLOWEEN est une fête païenne de commémoration de la mort .

 

Aurélie pratique la politique des rabat-joies !

21:37 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

21/10/2016

Le CONSEIL d'ETAT , AGRESSEUR DE LA LAïCITE

 

 

La rapporteure ,Aurélie Bretonnneau, du Conseil d’Etat parle le charabia : quand on recommande de ne pas s’opposer aux crèches de Noël dans les mairies , c'est toujours dans une intention religieuse .

 

Elle nous prend pour les idiots du village :

2 siècles avant l'arrivée du présumé  " Jésus",

nos ancêtres les Celtes 

fétait le solstice d'hiver !

ils s'éclairait avec les bûches de chêne dans l'âtre de fortune de leurs cabanes ;

ils n'avaient pas encore la chance d'avoir une étable !

 

 

 

 

 

 

 

Pour Aurélie Bretonneau, le principe de neutralité « n’interdit pas d’installer des crèches sur le domaine public », sauf quand une « intention religieuse » préside à une telle manifestation.

LE MONDE | • Mis à jour le

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La rapporteure publique du Conseil d’Etat a recommandé, vendredi 21 octobre, d’autoriser, sous conditions, l’installation de crèches de Noël dans les bâtiments administratifs, au nom du principe de laïcité. Les avis de ce magistrat, qui dit le droit, sont généralement suivis par l’institution, qui devrait se prononcer dans l’après-midi.

Selon Aurélie Bretonneau, l’article 28 de la loi du 9 décembre 1905 et plus généralement le principe de neutralité « n’interdit pas d’installer des crèches sur le domaine public », sauf quand une « intention religieuse » préside à une telle manifestation.

Deux décisions contradictoires en 2015

L’« assemblée du contentieux » de la plus haute juridiction administrative française, formation de 17 juges présidée par le vice-président du Conseil d’Etat, examinait deux affaires liées à l’installation de représentations de la scène de la Nativité dans des lieux publics, qui avaient donné lieu à deux décisions contradictoires de la justice.

En octobre 2015, la cour d’appel de Nantes avait validé l’installation d’une crèche au conseil général de Vendée, alors que celle de Paris avait au contraire donné raison à l’association qui refusait l’installation d’une crèche à la mairie de Melun.

Trois conditions pour l’installation d’une crèche

Installer une crèche dans une mairie ne peut être autorisé qu’à trois conditions, que cette exposition soit « temporaire », qu’elle ne s’accompagne d’aucune manifestation de « prosélytisme religieux » et enfin qu’elle revête le « caractère d’une manifestation culturelle ou au moins festive », a nuancé le rapporteur.

« Nous ne croyons pas que le contexte de crispations sur la laïcité vous impose d’instruire par principe le procès de la crèche », a conclu Mme Bretonneau, insistant sur la « dimension pacificatrice de la laïcité ».

 

 

La rapporteure du Conseil d’Etat recommande de ne pas s’opposer aux crèches de Noël dans les mairies

Pour Aurélie Bretonneau, le principe de neutralité « n’interdit pas d’installer des crèches sur le domaine public », sauf quand une « intention religieuse » préside à une telle manifestation.

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La rapporteure publique du Conseil d’Etat a recommandé, vendredi 21 octobre, d’autoriser, sous conditions, l’installation de crèches de Noël dans les bâtiments administratifs, au nom du principe de laïcité. Les avis de ce magistrat, qui dit le droit, sont généralement suivis par l’institution, qui devrait se prononcer dans l’après-midi.

Selon Aurélie Bretonneau, l’article 28 de la loi du 9 décembre 1905 et plus généralement le principe de neutralité « n’interdit pas d’installer des crèches sur le domaine public », sauf quand une « intention religieuse » préside à une telle manifestation.

Deux décisions contradictoires en 2015

L’« assemblée du contentieux » de la plus haute juridiction administrative française, formation de 17 juges présidée par le vice-président du Conseil d’Etat, examinait deux affaires liées à l’installation de représentations de la scène de la Nativité dans des lieux publics, qui avaient donné lieu à deux décisions contradictoires de la justice.

En octobre 2015, la cour d’appel de Nantes avait validé l’installation d’une crèche au conseil général de Vendée, alors que celle de Paris avait au contraire donné raison à l’association qui refusait l’installation d’une crèche à la mairie de Melun.

Trois conditions pour l’installation d’une crèche

Installer une crèche dans une mairie ne peut être autorisé qu’à trois conditions, que cette exposition soit « temporaire », qu’elle ne s’accompagne d’aucune manifestation de « prosélytisme religieux » et enfin qu’elle revête le « caractère d’une manifestation culturelle ou au moins festive », a nuancé le rapporteur.

« Nous ne croyons pas que le contexte de crispations sur la laïcité vous impose d’instruire par principe le procès de la crèche », a conclu Mme Bretonneau, insistant sur la « dimension pacificatrice de la laïcité ».

15:22 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)