10/05/2010
l'euro sous contrôle : un premier pas .
En 1924,HERRIOT aurait voulu nationaliser la BANQUE de FRANCE et en nommer le nouveau directeur,qui avait publié des faux-bilans.
De ce fait le grand capital pouvait contrer les mesures sociales et financières décidées par le Cartel des Gauches,issu des nouvelles élections législatives.
Il y eut une crise du franc.
Ce sera seulement en 1936 que la Banque de France sera réellement nationalisée .
Ce week-end,un premier pas a été franchi par SARKOZY et Angela MERKEL en prenant des mesures draconiennes dans le sens des intérêts des peuples et de l'existence même de l'euro.
Les radios crient victoire et saluent l'unanimité des 27,sauf que l'Angleterre ne participe pas au "sauvetage",étant donné qu'elle protège sa £ "Livre" contre...l'euro !.
La Suède et la Pologne vont soutenir l' € ...merci,mais ils ne réprésentent pas grand chose par rapport à la Bourse de Londres et ces pays ne sont pas dans l' €.
La prochaine mesure devrait être la nationalisation de la Banque Centrale Européenne....ce serait plus sérieux .
Si on veut faire échec à un krach dont les modalités sont déjà programmées par la "grande" finance américaine et britannique...
Un pouvoir politique doit pouvoir contrôler sa monnaie,sinon il devient un guignol.
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07/05/2010
panique à la Bourse de New York
Chute de 9 % des cours à la Bourse de New York.
Ceci,à la suite d'une erreur de manipulation d'un trader : son doigt aurait glisser et ajouter 1 ou 2 zéros.
C'est à dire suite à une erreur "matérielle" ...
Or,depuis le krach de 1987, un système anti "fat-finger" a été mis en place et ce genre d'erreur ne devait pas arriver.
On a donc neutralisé un certain nombre d'opérations...et annuler la chute de l'indice.Du jamais vu dans une économie de marché.Et tant pis pour les petits porteurs qui ne verront pas leurs opérations annulées.
La presse financière française n'en finit plus de nous raconter des "bobards" en matière financière.La vérité est qu'il y a eu une fraude énorme et grossière.
Pendant ce temps des "Notateurs" (1) se permettent de juger le fonctionnement des Etats - membres de l'Europe (Union Européenne) et comme par hasard,ils s'en prennent aux Etats dotés d'un gouvernement socialiste pour les accuser d'être en faillitte.
La monnaie euro qui devait être un ciment,comme on l'avait annoncé mors de son lancement se révèle de plus en plus être une monnaie de papier comme le système de LAW ou les assignats,qui avaient été émis entrop grand nombre.
On découvre qu'il n'y a pas de solidarité entre les Etats membres de l' "euro-group" et que c'était prévu ainsi : en cas de crise ,c'est du "chacun pour soi".-
Ce dimanche 9 mai , à Bruxelles aura lieu une grande fête de l'Europe,sous l'Arche du "Cinquantenaire".
Va-t-on y fêter la future disparition de l' euro ?
(1) des groupes de pressions ,genre "grands frères", américains ou britanniques qui engagent une guerre de destruction de l'euro devant laquelle les responsables de la banque Européenne de Francfort ne réagissent pas .
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06/05/2010
euro ESCROQUERIE au détriment du peuple.
Aujourd'hui,"grace " à l'euro,le peuple grec subit injustice et humiliation.
La BANQUE CENTRALE qui joue le rôle de gouvernement européen - non élu et donc système olygarchique- va taxer chacun des citoyens grecs ,sous prétexte d'une dette fictive à rembourser.
Sous prétexte que l' Etat grec ,donc les citoyens auraient vécu au-dessus de leurs moyens :
-une armée à entretenir
- "trop" de fonctionnaires ,des salaires trop élevés,etc ;
les arguments insultant proférés sur les radios ne manquent pas ,et y compris ceux à caractère xénophobe proférés par la chancelière Angela Merkel ,devenue la furherine de faite de l' Union Européenne...
Des clubs d'agents de notation ,anglo-saxons émanant de pays qui appartienent pas à la zone euro (G-B et USA ), ont décidé de sortir l'artillerie lourde pour couler l'euro et nous mettre dans une situation de misère incroyable d'ici quelques mois ,comme ce fut fait pour l' Argentine il y a 10 ans.
Aujourd'hui,c'est déjà 11 millions de pauvres en GRECE.
Le peuple n'est pas consulté et quand il exprime un avis contraire comme un NON en 2005 , les élus en place n'en tiennent pas compte : cela correspond à une forfaiture .
Il faut stopper le "marché" et édicter des règles de contrôle pour éviter la banqueroute totale...
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